Comme
au
cinéma
! Alors
que
Soul
Calibur
premier
du
nom
nous
mettait
en
jambe
avec
une
excellente
introduction
en
temps
réel
et
customisable,
Soul
Calibur
II,
lui,
effectue
un
retour
aux
sources
avec
une
magnifique
séquence
vidéo
en
CG
(Computer
Generated
pour
les
intimes).
Et
même
si
elle
s'avère
graphiquement
beaucoup
plus
belle
que
celle
de
Soul
Blade,
fossé
technologique
oblige,
elle
l'est
nettement
moins
pour
ce
qui
est
de
l'ambiance
musicale.
En
effet,
la
clé
de
sol
est
uniquement
entraînante
au
début
et
à
la
fin
de
la
cinématique.
Au
milieu
de
cette
dernière,
on
a
plutôt
la
désagréable
impression
de
se
faire
endormir
avec
des
passages
à
rallonge
(Raphael
se
faisant
poursuivre
par
les
forces
de
l'ordre,
le
long
combat
opposant
Ivy
à
Taki...).
En
d'autres
termes,
il
aurait
certainement
été
préférable
de
concevoir
une
introduction
plus
courte,
mais
captivante
du
début
à
la
fin;
ce
qui
aurait
sans
doute
amené
le
chef
d'orchestre
à
être
plus
dynamique
de
bout
en
bout.
Mention
spéciale
pour
l'apparition
du
titre
du
jeu
à
la
fin
de
l'introduction
:
tout
est
dans
le
style
!
Les
forces
en
présence Contrairement
à
l'opus
précédent
qui
comportait
19
combattants,
Soul
Calibur
II
nous
en
propose
cette
fois-ci
une
vingtaine.
Là
où
Namco
a
particulièrement
fait
fort,
c'est
de
nous
proposer
non
pas
une
brochette
de
doublons
comme
nous
avions
pu
le
lui
reprocher
auparavant,
mais
bel
et
bien
une
palette
de
personnages
aux
styles
différents.
Soul
Calibur
2
:
l'histoire
Les
informations
données
par
Namco
durant
le
développement
du
2
(sortie
japonaise
le
27
mars
2003)
ont
été
peu
nombreuses
et
délivrées
au
compte-gouttes.
Voici
un
petit
florilège
de
ce
que
l’on
sait,
en
attendant
sa
sortie
et
de
plus
amples
renseignements
:
Soul
Calibur
2
se
déroule
4
ans
après
le
volet
sorti
sur
Dreamcast.
C’est
à
peu
près
le
même
scénario
qui
se
déroule
:
Nightmare
(le
méchant),
qui
possède
SoulEdge
(l’épée
maudite),
tente
à
nouveau
de
semer
la
zizanie
au
16e
siècle.
Heureusement,
les
héros
sans
peurs
sont
au
rendez-vous.
Les
personnages
Au
programme,
treize
personnages
dont
les
deux
tiers
proviennent
de
SC1
(pour
les
connaisseurs
:
Yoshimitsu,
Cervantes
de
Leon,
Mitsurugi
Heishiro,
Chai
Xianghua,
Nightmare,
Kilik,
Taki
et
Astaroth)
et
on
gagne
quelques
nouveaux
arrivants
dont
un
frenchy
mousquetaire,
Rafael
Sorel,
et
une
chercheuse
de
noises
qui
veut
récupérer
Soul
Edge,
Isabella
"Ivy"
Valentine
(ainsi
que
la
petite
soeur
de
Sophitia,
j’ai
nommé
Cassandra
Alexandra
et
Charade,
qui
ressemble
tout
de
même
beaucoup
à
Inferno,
le
boss
de
Soul
Calibur
sur
DC).
Et,
c’est
cadeau,
nous
avons
droit
à
deux
personnages
cachés
tous
nouveaux
:
Necrid,
un
gros-tout-vert
sorti
tout
droit
des
BD
de
Todd
Mc
Farlane,
qui
utilise
une
épée
organique
(voire
deux),
plus
un
spécifique
pour
chaque
plate-forme,
Link
pour
la
Gamecube
(il
utilise
son
boomerang,
son
épée
et
son
bouclier
^_^),
Spawn,
sorti
également
d’une
BD
de
Mc
Farlane,
se
bat
à
la
hache
sur
l’X-boîte,
et
sur
PS2,
Heihachi
Mishima
(Papi
dans
Tekken)
se
bat
sans
armes
!
Seule
ombre
au
tableau
:
Siegfried
n’est
apparemment
plus
là
!
Siegfried
!
Revient
!
(Humm..
ceci
était
un
message
à
caractère
privé)
Et
en
pratique,
ça
donne
quoi
?
L’utilisation
du
système
de
motion
capture
donne
un
rendu
très
fluide
et
donc
une
jouabilité
d’une
grande
précision.
Il
est
toujours
possible
de
faire
des
enchaînements,
de
tourner
autour
de
son
adversaire,
etc...
Et
il
y
a
sept
modes
de
jeu
différents
:
Arcade,
Versus,
Time
attack,
Survival,
Team
Battle,
Practice
et
Weapon
master
(repris
de
Soul
Blade)
dans
lequel
vous
pourrez
récupérer
plus
de
200
armes
utilisables
dans
tous
les
autres
modes
de
jeu.
Aaaah
moi
je
dis,
nous
sommes
comblés
!
Il
n’y
a
que
les
amateurs
"old
school"
de
combat
2D
qui
puissent
encore
se
dire
insatisfaits
!
rédaction
:
metalex
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